Heure de réveil : 3h32 (vomi de chat, pipi de chat, je hais les chats)
Teasing : dépiautage de meme de droiteDéjà je me suis réveillée au son du vomi. Ensuite, le chat est venu pisser sur moi. J’ai retiré la couette, chopé l’autre, qui a évidemment traîné dans le vomi subtilement bien placé. J’ai aussi marché dans ledit tas de croquettes pas mâchées.

Le vomi c’est parce que les croquettes sont trop « anciennes » (quelques heures hein pas 10 ans) donc il MANGE les vieilles croquettes, pis au lieu de s’arrêter à cette étape il en mange plein, plein, plein d’autres, pis il boit, puis il va juste là où il sait que je passe, et il vomit.

Pour autant, je ne suis pas fâchée, ça va 🤷‍♀️

Hier j’ai rencontré un nouveau psychiatre, c’était bien, on a réévalué le traitement comme des grandes personnes.

J’ai plusieurs sujets pour ce matin donc je vais réfléchir un peu.

Voilà.

Aujourd’hui on va parler des gens « Woke », ce qu’iels sont, ce qu’iels ne sont pas, et on va partir d’une image :

🦝🦝🦝

💥Description de l’image💥
2 images juxtaposées.

Panneau 1 : « Militant de gauche »
Un homme, tête en sang (pas non plus The Shining mais on voit qu’il est blessé, tu as vu pire pendant les manifs de Gilets Jaunes), se confronte à un membre des forces de l’ordre d’un pays non-indiqué (sans doute britannique vu l’uniforme), armé d’une matraque.

Panneau 2 : « Woke »
Un Gary à la South Park (j’ai pas le nom du perso mais c’est design South Park et c’est sans doute les dernières saisons) entouré de remarques :
– Ne supporte aucune contradiction
– « facho »
– « Tu fais partie du problème »
– Pratique l’essentialisme à outrance
– Recherche SA pureté idéologique
– « pas safe »
– Harcèle
– « non-mixité »
– « Ta gueule c’est magique (barré) sociologique »
– Hiérarchise les luttes et les souffrances
– « problématique »
– « privilégié »
– Reproduit ce qu’il dénonce
– « ouin-ouin »

💥Fin de la description💥

Whaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
C’est tellement beau, comment tu voulais que j’en parle pas, hein ?

On a tout, un peu, là.
Mais déjà on va tenter de donner un contexte.

Si l’auteur du meme se donne la peine de préciser « militant de gauche » en ajoutant la première image stock venue, c’est une double indication de son appartenance politique.
J’ai retrouvé l’origine de l’image, il s’agit d’une manifestation lors du G20 à Londres en 2009. En gros le mec a été chercher « image manif policier » et a pris le premier truc qui lui tombait sous la main.
Je doute qu’une personne manifestant pour de vrai dans la rue toussa mette une photo de Londres en 2009, il aura forcément plus de choix (surtout avec les Gilets Jaunes, oui). Peu d’autre analyse à faire que :
« Les militants de gauche vont se faire tabasser en manif, eux. »

Bref.
Le second panneau nous indique bien d’où ça vient, tkt. (des communistes autoritaristes aka les Tankies)

Ce que j’adore c’est que le personnage au centre de l’image « Woke » a l’air d’un courtier en assurances en vacances avec femme et enfants. J’aurais pas illustré le wokisme avec un mec blanc, perso

Là ça confirme bien l’origine de la bouse que j’ai sous les yeux. C’était joué d’avance mais j’aime bien vérifier les indices avant quand même, ça me donne un petit sentiment de CSI : Val de Marne 😎

La forêt amazonienne maintenant. Pitié, aidez nous à arrêter les vegan qui mangent toute la planète !

🐧🐧🐧

Un vrai militant de gauche c’est un type en sang face à la police, donc. Moi ce que je me demande c’est comment il est arrivé là ? Qu’est-ce qui l’a motivé à y aller ? Une envie soudaine de se faire refaire le portrait ?
Ou alors des…convictions politiques peut-être ? Il se fait pas frapper juste pour le fun, il est venu défendre des trucs, et ces trucs il les a bien appris quelque part.

Le gauchisme, il ne se pratique pas qu’en manif, les gens. Je pratique le gauchisme chaque jour sans effort, en levant les yeux au ciel devant une blague nulle, en me douchant, lors de mes insomnies ou quand je gueule « mort au patriarcat » à poil dans le salon. Non je ne fais pas ça. J’ai une baie vitrée, je le fais habillée.

Là tu vois déjà que dès le début, l’auteur du même qu’on va appeler Jean-Nuisible pour faire plaisir à Nicolas F., se prend les pieds dans le tapis en indiquant sa totale ignorance : photo non pertinente (Londres, il y a 12 ans) mais « choquante », zéro autre légende que « Militant de gauche »

Moi ça m’indique le niveau de culture politique de Jean-Nuisible et c’est pas joli-joli 😬

La droite utilise « woke » comme un terme péjoratif envers la gauche
Parce que « éclairé » ou « empathique » sont trop durs à épeler.

🦥🦥🦥

Notre courtier en assurances, qu’on va appeler Jean-Michel Woke, n’est pas non plus super représentatif, en tout cas pas de mes potes de gauche, y’a ptet des gens woke qui mettent des petits polos bleu sur pantalon beige et lunettes de soleil sport, mais je ne les connais pas et je ne veux pas les connaître.

Autre indice, le « facho » habilement glissé dans les phrases flottant autour de Jean-Michel Woke, en seconde place, montre une petite blessure d’ego. L’auteur a sans doute déjà été traité de faf. Sans doute à raison.

Jean-Michel Woke ne supporte donc aucune contradiction. Oui, là dessus il a pas tort, Jean-Michel Woke est un homme 😺

Jean-Michel Woke pratique l’essentialisme à outrance. Oh oh oh, allons voir ça. Quand je vois des termes féministes repris par la droite, en général c’est de la merde. Cet exemple ne fait pas exception. Jean-Nuisible : l’essentialisme c’est vraiment pas ce que tu crois.

L’essentialisme, c’est le fait de dire que nous sommes « ceci » ou « cela » par essence. C’est souvent utilisé en féminisme (il existe un féminisme essentialiste, note bien) pour dénoncer le rôle de formatage de ces concepts. C’est l’essentialisme qui dit « les femmes viennent de Vénus et les hommes de Pluton » ou « Les femmes sont faites pour être mères »

Du coup ça tombe à plat, vu qu’on utilise le mot correctement. Pour l’auteur, l’essentialisme est expliqué par la citation juste en dessous :
« non-mixité »

En gros, les femmes viennent de Vénus et sont là pour faire des bébés MAIS il est formellement interdit de désigner un homme cis pour ce qu’il est : un homme cis. Ils ont pris le concept sans comprendre et se le sont semi-maladroitement-approprié. L’argument de l’essentialisme est non seulement une preuve d’imbécilité abyssale mais aussi un bon indice sur l’idéologie supportée par la personne qui cause : c’est un anti-féministe.

Parce que eux ça ne les gène pas de dire que les femmes sont « prédisposées à » (rester dans la cuisine, se faire belle pour son mari, glousser et aimer le rose), mais si on leur fait remarquer qu’ils sont des hommes cis, c’est insoutenable. Les deux qualificatifs les rendent ouf. « Je suis un homme, et alors ? J’ai le droit d’aller où je veux, y compris dans cette réunion non-mixte, recaler des gens sur des critères de genre c’est sexiste ! »

On le voit souvent, ça aussi. On est sexistes. Ouaiche.

Sauf qu’il ne suffit pas de juste retourner un concept comme un gosse qui dit « miroir ! » dans la cour de l’école, faut déjà l’avoir compris et assimilé avant de le recracher. Cet argument est si pété qu’en général je n’y réponds même pas ou alors en cassant le sarcasm-o-meter.
Attention, tout ça peut tenir debout quand on a zéro notion de la Cause ou de la Lutte. Mais ça n’est toujours pas une preuve de pertinence.

Bref : dire à un mec cis qu’il est un mec cis et donc privilégié c’est être à la fois essentialiste, sexiste et injuste. Tu m’en diras tant.


🐳🐳🐳

Normalement, lorsque tu combats quelque chose, tu t’y intéresses un minimum histoire de reprendre sur le fond. Là, clairement, on est au niveau -12 de la connaissance de l’ennemie. Les mecs sortent des termes random en chouinant, c’est tout ce que je vois.

Jean-Michel Woke dit « tu fais partie du problème » (il a raison) « problématique » et « privilégié » (il a raison aussi) et ça c’est INSOUTENABLE.
« Moi ? Privilégié ? Mais je ne suis pas rentier ! »
« Moi ? Privilégié ? Je suis rentier mais j’ai travaillé dur pour ça ! »

De la même manière, la connaissance théorique frise le zéro absolu. Déjà, on fait toustes partie du problème, qu’on le veuille ou non, car on fait partie du système qui crée le problème. La phrase est techniquement juste même si elle ne veut pas tout à fait dire ça.

🔥 « Si tu ne vois pas le problème c’est que tu fais partie du problème » c’est ça, la phrase entière. Et elle est loin d’être déconnante. Une personne qui ne sait pas reconnaître les problèmes en étant pourtant en plein coeur du système est bien souvent une personne qui a le privilège de ne pas avoir à gérer ces problèmes-là.

Y’a plein de problèmes auxquels on ne pense pas, des problèmes qui ne nous concernent pas où dont nous sommes trop éloignées géographiquement. En soi, le « si tu ne vois pas le problème… » est pas ouf, amha. Oui, c’est un privilège que de ne pas voir les problèmes, mais on ne peut pas voir tous les problèmes du monde. C’est pinailler mais ça me pose un souci de cohérence et de logique, j’ai jamais aimé cette expression même si je suis d’accord avec le sens qu’on lui apporte, surtout concernant les Jean-Nuisibles.

Après, une fois que tu « vois » le problème, tu as plusieurs possibilités :
🔹 Ne rien faire et oublier
🔹 Chouiner 2 mn et oublier
🔹 Prendre conscience et ne rien faire
🔹 Prendre conscience et agir pour.
🔹 Prendre conscience et agir contre.

C’est pas le fait de ne pas « voir » le problème dont on parle ici, on parle de l’étape suivante. Un type misogyne as fuck sait bien que les femmes sont en position d’infériorité : il les y place lui-même !
Il voit le problème, il en profite d’ailleurs allègrement. Il sait que le sexisme existe, et il le pratique. C’est ça, faire partie du problème. C’est pas « être un mec cis le cul posé devant son clavier ».

Le fait que les femmes soient victimes de violences, par exemple, c’est difficile à nier même si évidemment certains s’y emploient. Les écarts salariaux, les stats en pagaille, tout ça, ils le voient bien. C’est juste qu’ils veulent que la situation perdure. Si pour cela il faut faire mentir les stats tirées du chapeau, s’il faut déformer les faits, ils le feront en se persuadant qu’ils luttent pour la justice.

Mais le problème, t’inquiètes qu’ils le voient bien.


🐙🐙🐙

Jean-Michel Woke hiérarchise les luttes et les souffrances aussi. Sache le.

Là c’est un tacle à l’intersectionnalité et aux « concernées ». Les cartes Pokémon de l’Oppression, le petit jeu sans gagnante auxquelles se livrent effectivement certains groupes de personnes.
Mais c’est important d’avoir les notions de « concernée » et « oppressions/privilèges » lorsqu’on est féministe. Pousser le truc jusqu’à l’absurde est idiot, mais comme pousser n’importe quoi jusqu’à l’absurde.

Ici, l’idée de se définir aussi en fonction des oppressions subies, ça fait chier Jean-Nuisible (qui est blanc, j’ai même pas pensé à préciser tellement ça me semblait évident, mais il est blanc). PARCE QUE LUI IL JOUE PAS ! Les « cartes » qu’il pourrait avoir concerneraient l’invalidité/handicap et la précarité à vue de nez.
Au Grand Jeu des Oppressions, il est sûr de perdre à tous les coups. On lui a dit que gagner à ce jeu n’était pas une bonne nouvelle, mais il aime que gagner. Et comme pour le coup il a moins de cartes, il râle.

Qu’on soit clair : personne ne hiérarchise les luttes et les souffrances. Préciser si tu es concernée ou pas marque le fait que tu parles d’expérience, que tu peux avoir conscience d’enjeux différents (« si tu ne vois pas le problème… ») et apporter des réflexions tirées de ton expérience personnelle à la discussion. C’est tout. C’est vraiment tout. C’est juste là dessus que Jean-Nuisible chouine.

On va être re-claires : la non-mixité et la priorité aux personnes concernées, c’est LA BASE.
Cela ne veut pas dire que je ne peux pas écrire sur le racisme, je l’ai fait, mais ça nécessite des précautions et du respect.

Personne ne hiérarchise les luttes car il y a de la place pour tout le monde en réalité. Il y a de l’espace de lutte là où on le cherche. TA propre lutte sera la lutte la plus importante de ta vie, quelle qu’elle soit. Je ne peux par exemple pas me définir afro-féministe pour des raisons évidentes de blanchité, ça ne m’empêche pas de soutenir cette lutte.

Et surtout, cela ne veut pas dire qu’un combat est plus important qu’un autre. Le combat important, c’est le tien. Sauf si tu es un facho. Zut j’ai dit facho, Jean-Nuisible m’a bien eue.


🐮🐮🐮

Jean-Michel Woke dit aussi « ta gueule c’est sociologique ». La vanne est une vanne de rôlistes (les gentes qui font du jeu de rôles sur table initialement), c’est une réponse de maître de jeu à des questions de joueurs pénibles qui réfléchissent trop.

« Oui mais attends, sa boule de feu, là, comment elle contourne le pilier pour m’atteindre pleine poire alors que dans le livre des sorts…
– Ta gueule, c’est magique ».

Je pense que les potes auront beaucoup d’exemples à donner.

Mais donc, pour les gens woke, la sociologie est la Mère de Toutes les Sciences. Bah c’est pas faux.

Sauf que…entre « ta gueule c’est sociologique » et « pratiquer l’essentialisation à outrance », ça pêche, non ? Quelle est l’idée ? Non parce que justement, la sociologie c’est un peu le truc qui se bat contre l’essentialisme, donc je cherche la cohérence, tu vois.

Mébon.
Oui, la socio c’est bien et ça a permis d’expliquer des milliards de trucs. La psychologie aussi, d’ailleurs. Les maths aussi, oui. Et ?

Les problèmes d’inégalité sont des problèmes sociaux, en fait. On va pas utiliser la physique des particules pour travailler sur le sujet. Pas plus que j’irais lire Bourdieu au CERN pour réparer le grand collisionneur de hadrons.

On a un problème de société, on se réfère donc à la sociologie OMG ENFERMEZ MOI CES EXTREMISTES !
Pour finir : on a assez de doc comme ça pour ne pas avoir à répondre « ta gueule c’est sociologique ». Qu’on puisse utiliser des arguments d’autorité à tort, oui, ça arrive. Il n’empêche qu’on ne manque pas de recherche sur le sujet.

Invalider la sociologie c’est rendre le combat invalide, bien tenté, Jean-Nuisible mais ça reste une discipline scientifique que tu le veuilles ou non. Regarde, y’en a même un qui pense comme toi, il s’appelle Gérald B. faites connaissances autour d’un café si vous voulez, moi je passe à la suite.


🌿🌿🌿

Jean-Michel Woke a décidément tout pour plaire, il « harcèle » tout en parlant de « pas safe » et il « reproduit ce qu’il dénonce ».

Ah la violence militante ❤️

Donc oui, ça arrive. Voilà. On va pas se mentir, on a toustes connu une personne qui a tendance à harceler ceuxlles qui ne sont pas d’accord. On a toustes au moins une fois expérimenté la violence militante.

Moi c’est le côté « reproduit ce qu’il dénonce » que je capte pas.
Par exemple, je dénonce le validisme/capacitisme et je suis bien en peine de reproduire cette oppression sur d’autres personnes. Je suis contre le sexisme, je pense ne pas l’être (trop). Faut être plus précis sur les termes, ça colle pas. Mais je suis trop littérale.

« Ce qu’il dénonce » est « la violence » sans autre qualificatif. Alors là, oui, on peut être violentes. J’aimerais bien que tous le monde soit aussi violent que nous, d’ailleurs, ça serait plus calme dans le monde.
J’admets sans peine que voir un membre de la famille Nuisible en difficulté dans un « débat » me réchauffe le coeur. Le voir se débattre dans ses incohérence me réjouit, je l’avoue. Je suis une mauvaise personne.

Là où c’est quand même plutôt comique c’est si tu repenses à la première image du « militant de gauche » en manif. Ces lieux sereins et paisibles.
On met en valeur un « vrai gauchiste », tête en sang, l’air vindicatif, pour ensuite dire que la violence, c’est mal. Donc se taper en vrai ça va, se taper en ligne c’est hyper violent. Soit.

Terreur ! Fureur ! DESTRUCTION ! DESTRUCTION ! DESTRUCTION ! DESTRUCTION !

🐓🐓🐓

Pour finir, Jean-Michel Woke recherche SA pureté idéologique.

Heu…c’est…bien ?
Moi aussi je recherche MA pureté idéologique. J’ai des principes, je fais ce que je peux pour tendre le plus possible vers cet idéal dont je sais d’avance qu’il est par principe inaccessible.

La recherche de MA pureté idéologique, déjà, elle regarde MOI EN CAPSLOCK, et elle ne signifie pas que j’ai raison. Je peux me planter et rebrousser chemin, ça m’est arrivé et ça m’arrivera encore. Je trouve ça bien de faire cette démarche.

A titre personnel.

Parce que c’est un peu fondé, ce reproche. Je suis désolée, je ne peux pas dire « non non jamais » alors que « si si tout le temps ».

Ce qui m’interroge surtout c’est de savoir où l’auteur veut en venir. En général les débats sur la pureté idéologique que j’ai eus c’était avec des militantes. Jamais en dehors de ces cercles, non pas que je fuie, mais je n’y ai pas du tout été confrontée.

Du coup je suis confuse : qu’est-ce qu’il veut dire ?
Sait-il seulement ce que signifie « pureté idéologique » ?

Je penche ici pour un gros contre-sens parce qu’il a pas bien lu « Le wokisme pour les nuls tome 7 ». Je ne vois pas d’autre explication. On verra à la relecture.

Relecture : en fait je pense qu’il voulait dire que Jean-Michel Woke cherchait LA pureté idéologique, c’est le seul truc qui fasse sens à 6h33 du mat. L’argument est toujours aussi pété.


🐝🐝🐝

Bon, encore du beau bullshit en barre ce matin, hein ?
J’ai quand même rarement vu un truc autant à côté de la plaque.

Les seuls trucs valables-mais-pas-comme-il-le-pense concernent la violence militante et la pureté idéologique.

Ah, si. La dernière phrase, que je n’ai pas traitée et qui sera le mot de la fin :

« ouin-ouin »